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Bonjour Pierre, parle-nous d’Assutech.

Pierre S : Assutech est une jeune société, créée en 2015 par deux téléphonistes Frédéric Bukala et moi-même, forts d’une bonne dizaine d’années d’expérience dans le domaine. Au début, nous travaillions avec les constructeurs que nous connaissions, Alcatel et Siemens : les traditionnels. Puis un jour, nous avons reçu un coup de fil de Jean-Yves. Il nous a fait une présentation, une très bonne présentation même.  Le timing était parfait car à cette époque, nous cherchions à nous démarquer. Fréquemment, nous étions en concurrence avec d’autres intégrateurs. Le problème, c’est qu’on proposait tous plus ou moins le même produit. Wildix est arrivé au bon moment. Une vraie valeur ajoutée. Enfin, on avait quelque chose de vraiment différenciant à proposer à nos clients. Pendant 10 ans, j’allais chez mes clients pour renouveler leur matériel sans aucune nouveauté. On y allait pour renégocier le contrat mais aucune présentation, aucune intégration, aucune formation. C’était frustrant.

Comment êtes-vous devenus partenaire Wildix?

Pierre (Assutech) : Nous sommes devenus partenaires Wildix un mois après que Jean Yves nous a contactés. Bien sûr, entre temps nous avons eu la visite de Joseph, le responsable région île de France Wildix qui est venu nous faire une démonstration sur place, c’était la dernière touche de séduction. On a vraiment craqué pour le système.

Mais vous avez pris un risque ? Vous veniez de créer votre société, c’était risqué de partir sur un nouveau produit?

Pierre (Assutech) :  Créer sa société c’est déjà un risque, proposer un produit inconnu du secteur, c’était un autre risque. Mais nous n’avons pas eu peur. Qui ne tente rien n’a rien, comme on dit chez nous. Sincèrement, quand on a vu la solution, on a très vite compris que Wildix était ce qu’il nous fallait. Le risque aurait été de continuer à vendre des solutions préhistoriques, là c’était un risque mesuré, car avec la solution Wildix on pouvait facilement se projeter en avant et être plus confiants dans la pérennité de notre entreprise.

Comment se sont passées les premières installations?

Pierre (Assutech) : Pour la première vente, nous avons été accompagnés par Joseph sur la partie commerciale, très rapidement nous avons été en formation de niveau 1 et de niveau 2 afin de pouvoir être autonomes le plus vite possible. Et tout c’est très bien passé. On s’est même risqué à vendre la solution à Mikit, un constructeur immobilier, soit une bonne petite affaire d’une cinquantaine de postes, ce qui n’est pas trop mal pour démarrer. Ils en sont ravis, d’ailleurs vous avez même fait un témoignage disponible sur votre site internet.

Alors maintenant cela fait deux ans que vous installez le système Wildix, qu’en penses-tu?

Pierre (Assutech) : Aujourd’hui, je connais très bien le produit et avec toutes les nouveautés que Wildix fournit chaque année, mon équipe et moi veillons à rester informés de l’évolution du système. Cette constante évolution nous permet de toujours proposer des nouveautés à nos clients, surtout aux clients existants. C’est un argument de vente puissant pour nos commerciaux. Une excuse pour pousser la porte ou passer un coup de fil.

Quelle est votre stratégie commerciale et marketing?

Pierre (Assutech) : Bien qu’on ait un parc existant plutôt important, nous sommes très actifs dans la prospection de nouveaux clients. On a donc un service de télémarketing qui prospecte et qui fait des démos en ligne. Au niveau marketing, c’est vrai qu’on n’a pas de personne dédiée à cette tâche pour l’instant mais tout le monde y met du sien et du coup, on a aujourd’hui une visibilité plutôt correcte.

Aujourd’hui, quand tu es en concurrence sur une affaire, qu’est ce qui fait pencher la balance en ta faveur?

Pierre (Assutech) : Sans aucune hésitation, la démo ! Par exemple il y a quelques semaines vous nous avez attribués un lead de 60 postes qu’on a gagné contre Xivo et 3CX. Bien sûr, se déplacer c’est primordial. Sur cette affaire, seuls 3CX et nous se sommes déplacés. Malheureusement pour eux, et heureusement pour nous, leur démonstration n’a pas fonctionné. Accompagnés de Joseph, nous avons fait une démonstration qui était telle que le client est resté bluffé par la puissance du système. Une bonne démo, il n’y a rien de mieux.

Techniquement, au niveau du déploiement, le passage à Wildix a changé quoi?

Pierre (Assutech) : Wildix, ça surtout été le passage à l’IP car nous étions téléphonistes donc étrangers au monde de l’informatique. Et Wildix facilite le déploiement. De tous les systèmes que j’ai eu entre les mains, Wildix est le plus simple à configurer. Aujourd’hui, même nos commerciaux assurent le back up en période intensive et procèdent au déploiement des installations.

Effectivement pour en arriver à avoir des commerciaux qui font du tech, c’est que ça marche bien pour Assutech?

Oui, on est nous-même surpris de notre succès. Depuis septembre, on connaît une forte progression et on se concentre à 99% sur la téléphonie Wildix. Je dirais même qu’on est victime de notre succès mais aussi du succès de Wildix.

Cette année, on a observé un intérêt particulier des DSI sur le système. Ils nous contactent directement et nous posent eux-mêmes des questions sur leur architecture téléphonique. C’est assez surprenant quand on sait qu’il y a quelques années, les DSI ne voulaient pas s’occuper de téléphonie. Dans les grands comptes, les téléphonistes étaient gérés par les services travaux. Aujourd’hui, on a en face de nous des professionnels qui veulent aller plus loin dans leur scénario. Grâce à Wildix et sa flexibilité, Assutech est capable de répondre par l’affirmatif à chacune des demandes.

Parlons de la relation entre toi et Wildix, comment aujourd’hui penses-tu que Wildix se différencie des autres constructeurs?

Je parle en mon nom. En plus de 10 ans, je n’ai jamais connu un écosystème aussi fort. Ce que vous avez réussi à créer, cette synergie entre partenaires, c’est exceptionnel et difficile à décrire. Des hommes qui étaient pour moi des concurrents sont devenus des partenaires. On est capable de s’entraider entre nous. C’est hyper constructeur et porteur dans le business au quotidien.

On s’échange des informations sur le produit, sur la solution, sur nos méthodes de vente et ça, c’est grâce à Wildix. On est tous réunis autour du système pour l’installer et le commercialiser le mieux possible. C’est bénéfique pour chacun. Car en restant chacun dans notre coin, on est très vite limité. Hors là, ces PME, ces TPE qui sont vos partenaires, n’ont pas forcément des ressources marketing, techniques ou même commerciales et grâce à l’écosystème, aujourd’hui on est capable de s’entraider sur ces différents points.

Comment s’est passée l’introduction du système de licensing et du Cloud?

Avant, c’était compliqué d’expliquer au client que son PBX était plein et qu’il fallait le changer pour agrandir son système, avec tous les coûts que cela engendrait. Aujourd’hui, si j’ai un client qui a deux nouveaux collaborateurs, pour lui comme pour nous, c’est très simple de lui faire les ajouts. On n’a pas besoin de changer le PBX et de tout reconfigurer. Grâce à ce nouveau système de licence, on évolue dans le temps progressivement au rythme de l’entreprise. Nos clients payent pour ce dont ils ont besoin. Ni plus ni moins.

Comment est vécue la solution par les utilisateurs?

Même si c’est souvent les fonctionnalités avancées qui épatent lors de la démo, les utilisateurs dans 80% des cas ont besoin d’avoir un téléphone fixe sur leur bureau, ils sont plus rassurés. Même si celui-ci finit par prendre la poussière car ils finissent par adopter le Softphone après quelques années. Mais on commence à avoir pas mal de demandes en Softphone. Récemment, on a équipé une société composée de 80 gestionnaires de sinistre en Softphone. Ils ne voulaient pas de téléphone fixes, ça montre encore que Wildix a anticipé les besoins des utilisateurs.

Des axes d’amélioration à envisager?

Des améliorations il y en aura toujours à proposer, le monde de l’informatique continue d’évoluer et Wildix n’est pas un simple téléphone, c’est une solution complète, donc je dirais que c’est plus un encouragement qu’une amélioration. Un encouragement à rester avant-gardiste et à la pointe de la technologie.

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